SMDOP
samedi 11 mai, accueil Senghor 17h > 21h
Dans un lieu hors des communs, chaque personne du public est invitée à danser doucement, se confronter lentement, bouger avec une poétesse organique vivante quelques minutes (au moins) au milieu de 4 heures de performance (en)mouvementée.
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Comment renouer avec les émotions enfouies ou répétitives...
comment s'informer d'un corps sans mettre la parole devant...
comment (se) rencontrer dans un espace confiné...
Comment revivre ce temps de connexion en bougeant si lentement que chaque mouvement, chaque odeur, chaque diastole, chaque pas, chaque bruit devient un lien (heureux ou artificiel ou « à vivre »).
Danser doucement, danser épaule contre tête ou head on shoulder.
Prendre le temps de tout bien sentir - embarras, confusion et plaisir possibles.
Danser l'un CONTRE l'autre, l'un avec l'autre, l'un pour l'autre.
D'un côté : Une poétesse volontaire, désireuse de créer un lien doux ou dur, sensoriel jusqu'à sensuel, drôle ou cru – curseur variable entre silence et euphorie jusqu'à épuisement de l'air et du temps (4h sans pause).
De l'autre : un partenaire particulier inconnu ou reconnu qui vient tester sa chance, son risque de se frotter à une poétesse, à une femme confortable, à un corps en expériences sensibles. Toute velléité bienvenue : compromis, développement durable, exutoire, plan QI, réunion...
Pourquoi 4 heures ?
Pour l'empreinte du temps qui déroule lentement son chemin
pour instaurer une fatigue
pour traverser diverses étapes émotionnelles
pour voir et revoir
pour laisser le corps désirer, résoudre, rejeter, appréhender, pourfendre, attaquer, résister, vivre plus que d'habitude.